MAGAZINE : LivePoker numéro 104 - Septembre 2016
Edito
Â
BELGIQUE POWERÂ
Â
On nous a souvent posé cette question : pourquoi le classement français intègre t-il belges et suisses ? Nous y tenions depuis sa création car LivePoker est leader en France mais également chez nos amis francophones. Aujourd’hui la question ne se pose plus, avec quatre Belges dans le Top 5 du classement. Qui c’est les plus forts ? Evidemment, c’est... les Belges ! Depuis plusieurs semaines déjà , le vétéran Pierre Neuville, grâce à ses performances ultra régulières sur le circuit, s’est emparé de la première place du classement LivePoker. Puis, comme touchés par la grâce, trois de ses compatriotes l’ont rejoint dans notre Top 10 cet été. Michael Gathy, vainqueur d’un bracelet à Las Vegas en juin, mais aussi le membre du Team Pro Winamax Davidi Kitai, sans oublier Thomas Boivin, auteur d’une victoire à six chiffres au Venetian, et en n Kenny Hallaert, épatant November Nine. Tous ont brillé au cours des derniers mois, aux Etats-Unis et ailleurs. Fort heureusement un autre membre du cercle fermé des November Nine, Antoine Saout, sauve l’honneur tricolore avec un retour fracassant sept ans après son podium aux WSOP 2009. Mais aujourd’hui, tous les yeux noirs, jaunes et rouges sont rivés sur Kenny Hallaert. Car oui, pour la deuxième année consécutive, un joueur belge va avoir l’opportunité de devenir champion du monde de poker ! Le Tournament Director du Casino de Namur s’est en effet assuré une place parmi les November Nine, et reviendra à l’automne à « Sin City » pour essayer d’aller décrocher le bracelet le plus prestigieux du poker…. et quelques huit millions de dollars.
Â
La mainmise de nos voisins sur le classement LivePoker 2016 a, je n’en doute pas, un rapport avec la qualité de l’offre de jeu en Belgique. Le WPT National à Brussels, les WaSOP à Namur ou encore le Belgian Poker Challenge ont de toute évidence contribué à faire éclore de nombreux talents qui explosent aujourd’hui sur le circuit international. Vivement la réouverture de poker- rooms dans l’hexagone et notamment à Paris, comme semblent en n le promettre nos autori- tés, pour que les passionnés, en manque de spots reconnus (alors que la France était la deuxième nation du poker il y a cinq ans à peine) accèdent de nouveau au plus haut niveau. En attendant, nous espérons tous assister au couronnement d’un premier champion du monde belge. Good Luck Kenny !
Â
Georges DJENÂ
Au sommaire de ce numéro
Â
9 Edito
Â
Â
14 News
Â
Parties High-Stakes, phrases chocs, stars en pagaille… Sans oublier l’actu des tournois français avec en vedette le nouveau Multiplex 300 !Â
Â
Â
22 Top/Flop
Â
Saïd El Yousfi, une victoire qui vient de loin !
Â
Twitch : comment gagner 250 000 € en direct
Â
Daniel Negreanu en mode spew
Â
Â
24 News Betting
Â
Un Euro qui rapporte, le nouveau roi des 0-0.Â
Â
Â
26 En chiffres
Â
Antoine Saout encaisse sans cesse
Â
Â
28 APRES LE POKER
Â
Jean-Jacques Mars, les mille vies du Dandy
Â
Â
30 Poker Life
Â
Fabrice Soulier décortique les WSOP 2016 et prend le bouillon dans le Cube
Â
Â
32 MetagameÂ
Â
34 Tu sais que le poker te sors par les yeux quand…
Â
Â
36 Cahier Betting
Â
Championnats européens : nos conseils et bons plans pour miser gagnantÂ
Â
Â
40 Interview
Â
Aurélien Guiglini, la boîte à idées de Winamax
Â
Â
42 WSOP 2016
Â
Les belles histoires du Main EventÂ
Les November Nine sur le grill
Les Français passent encore très près
Les faits marquants, les chiffres importantsÂ
Â
Â
48 LIVE
Â
Fabrice Casano s’adjuge les FPS Lille
Â
Edin Heco gagne les WSOP belges
Â
Â
52 COUVERTURE
Â
David Benyamine, confessions sans langue de boisÂ
Â
Â
60 Le spot de Vuong Than Trong
Â
Un instinct qui ne trompe pas
Â
Â
64 NEW ! Le sport de Yoh_ViralÂ
Â
Le pro PMU s’attaque aux regs de Vegas
Â
Â
68 Technique
Â
Â
L’overbet à la turn : ses raisons d’exister
Â
Â
74 Pages Pratiques
Â
Les calendriers complets de tournois live et online, avec la fin des WSOP 2016
Résultats, classements LivePoker 2016, lexique et statistiques Â
Â
Â
88 Trash-Talk
Â
Philippe Ktorza : Stop au cumul des tournoisÂ
Â
Â
90 La Main du mois
Â
Scott Seiver se joue de la solidité allemande