EPT Monte-Carlo : la folie douce du cash-game

Si cet EPT Grand Final propose un programme bien rempli au niveau des tournois, l'offre en cash-game est tout aussi alléchante, en témoigne la présence d'[Antony Lellouche] : l'une des références françaises en la matière ne se déplace que pour les grosses parties...

De grosses parties au programme

C'est la grande innovation de cette édition : les parties de cash game se jouent non plus au casino du Fairmont Hotel mais au Monte Carlo Bay, le casino situé à quelques mètres de la célèbre salle des Etoiles qui abrite le festival EPT. Dans une salle annexe proche du bar-restaurant du casino, une bonne trentaine de tables sont en tout cas ouvertes. Et il y en a pour tous les goûts, de la NLH 2€/5€ à la Pot Limit Omaha 100€/100 €, en passant par quelques tables d'Open Face Chinese Poker qui rencontrent d'ailleurs un grand succès (ci-dessous, Gus Hansen en pleine partie). En revanche, pas de traces visibles en tout cas de parties very high stakes avec des blindes à 1000 € que les rumeurs annoncaient au Monte-Carlo Bay.

Les organisateurs privilégient de plus en plus le cash game

Nous savons depuis toujours que les tournois ne sont pas toujours très bénéficiaires pour les organisateurs à la différence du cash game au rake bien plus intéressant. Depuis quelques années d'ailleurs les parties de cash se sont largement développées aux WSOP dans les salles mêmes des nombreux events. Online ou en live, le principe est le même, les fees des tournois couvrent à peine les frais ! Le succès des parties de cash à Monte-Carlo est d'ailleurs dû en partie à un rake assez exceptionnel, puisque les prélèvements sont cappés à 25 € sur les grosses tables de 50 €/100 € !

Plusieurs professionnels sont actuellement installés comme [Stéphane Benadiba], [David Benyamine], [Stéphane Albertini], Alex Kravchenko, [Matthias De Meulder], Alan Smurfit... Certains tentent de se refaire après s'être cagoulés en tournois...

 

  


Certains sont en plein rush...