Full Tilt : 300M$ minimum pour une reprise , Ivey aurait empêché un deal


Full Tilt : 300M$ minimum pour une reprise , Ivey aurait empêché un deal

L AGCC exige une somme de 300M$ pour une éventuelle reprise de Full Tilt.


 
Full Tilt Poker ne semble pas prêt de trouver des investisseurs… En effet, selon Harry Demetriou, un joueur professionnel très impliqué dans cette affaire et proche d'Hendon Mob, l’Alderney Gambling Control Commission, qui a suspendu la licence de Full Tilt Poker, exige que le repreneur potentiel paye au minimum 300M$ !

Full Tilt a refusé des offres

Demetriou, dans un post sur le forum 2+2, a également déclaré que l’opérateur recherchait un deal pouvant assurer le remboursement de tous les joueurs à travers le monde. C’est la raison pour laquelle FullTilt a déjà refusé des offres de reprises qui ne concernaient que les avoirs britanniques de la société-mère, Pocket Kings.

Ivey voulait sa vengeance

Demetriou affirme également que Phil Ivey aurait cherché à faire capoter des négociations ayant eu lieu juste après le Black Friday. Le joueur avait présenté des investisseurs à Full Tilt peu après la fermeture du site, mais ils n’ont pas été retenus, provoquant la colère du "Tiger Woods du poker".

Selon Demetriou, ce dernier aurait touché une grosse commission en cas d’accord et avait donc ensuite attaqué Full Tilt en justice dans le but d’empêcher de nouvelles négociations avec d’autres entités…

Jack Binion était dans la course

Quelques détails sur les éventuels investisseurs qui se sont manifestés depuis le Black Friday ont également été mentionnés : Demetriou parle de "JB", qui semblerait être le magnat des casinos Jack Binion, comme étant celui qui aurait fait l'offre la plus complète et "qui aurait arrangé tout le monde".

Le Britannique parle également de "SA", mais Demetriou pense que cet investisseur "avait été planté là par PokerStars ou un autre concurrent ou encore Ivey", dans le but de faire traîner les négociations.

Enfin, Demetriou a également donné les initiales de "MB" qui pourraient êtres celles de Matthew Benham, un ancien trader de la City et le propriétaire de Smartodds, une entreprise de paris sportifs. Certains de ces repreneurs auraient en tout cas été découragés par les affaires en cours entre Full Tilt et Phil Ivey. La suite au prochain épisode.
 

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