BLOG À PART : les pros Winamax font le bilan des WSOP
L'été est propice pour tirer les conclusions de sa campagne poker de l'été à Las Vegas. Les pros du Team Winamax n'échappent pas à la règle.
Cette semaine, ce ne sont pas un, mais trois blogs que nous vous proposons dans notre rubrique BLOG À PART. Et pour cause, c'est l'heure d'analyser les WSOP 2019 à froid au sein du Team Winamax.
En ce mois d'aout, c'est tout d'abord Pierre Calamusa qui s'essaye à l'exercice, lui qui a atteint une finale WSOP cette année. "LeVietFou" revient notamment sur l'importance d'être bien entouré durant les WSOP, et aborde également le critère décisif de la gestion de bankroll, dont il n'avait pas mesuré l'impact l'an passé: "J'avais sous-estimé l'importance d'avoir une bankroll confortable. Auparavant, dès que j'attaquais un tournoi à 2 000 € ou plus, j'étais "en shot", c'est à dire plus ou moins hors budget. Forcément, lorsqu'un buy-in de Main Event EPT ou WSOP représente 10, 20 voire même 30% de votre bankroll, il est difficile d’aborder ces événements avec sérénité. J'ai pu mesurer l'importance de ce paramètre en observant Victor : chaque bust avait l'air de lui faire mal car chaque tournoi représentait un énorme investissement financier par rapport à son capital personnel." Un papier à lire ICI.
C'est ensuite au tour de Gaëlle Baumann de revenir sur un Vegas raté en terme de résultats, avec 0 places payée. Mais la Team Pro Winamax trouve néanmoins des motifs de satisfaction à son voyage à Sin City : "Pour ne pas finir sur une note négative, je termine mon épopée vegasienne par un dernier escape game, un bon resto de tapas et un spectacle au Wynn, le Rêve. De quoi partir avec des souvenirs mémorables et l'espoir d'une meilleure réussite pokeristique l'année prochaine. Et l'occasion de se souvenir qu'il n'y a pas que le poker dans la vie !" Un message positif à lire ICI.
Enfin, c'est la machine française Adrien Delmas qui se lance, dans un article ultra-complet publié mercredi 21 aout. Ragnarok235, finaliste d'un event Shootout aux WSOP, revient sur les émotions vécues grâce à ses deepruns mais aussi ceux de ses amis, et aborde d'autres thèmes cruciaux comme l'importance d'une bonne préparation en amont et la nécessité de se ménager des jours off : "C’était mon troisième Vegas, donc je commençais à avoir pas mal d’expérience vis-à-vis de pas mal de quelques données personnelles. A savoir mon temps de sommeil, le jetlag, le pull qu’il faut toujours apporter au RIO (merci la clim à 18 degrés), mais surtout ce qui est pour moi le plus important : les plages de repos. En effet, l’an passé je n’avais pas particulièrement organisé de journées off, ou même de breaks au milieu d’un séjour long de 45 jours. Résultat : j’étais souvent fatigué, sans énergie, sans envie et par conséquent je ne performais pas au maximum. Cette fois, j’ai changé mon fusil d’épaule en organisant un road trip « nature » au milieu de ces sept semaines. [...] Le reste du séjour, je me suis imposé une journée de pause par semaine." Plus de détails ICI.
Crédit photo : Winamax