Les échecs des grands patrons dans le poker en ligne français


Les échecs des grands patrons dans le poker en ligne français

Capital.fr revient sur les célèbres patrons n'ayant pas connu le succès sur le marché français des jeux en ligne.


Alors que 25 opérateurs avaient obtenus un agrément pour proposer du poker en ligne sur le marché régulé français, ils ne sont plus que 12 encore en activité. Le site Capital.fr a choisi revenir sur les nombreux échecs rencontrés par quelques investisseurs à succès dans ce secteur.

Le site revient notamment sur la fermeture d’Eurosport Poker : malgré des investisseurs comme Martin Bouyges, l’opérateur n’a jamais connu le succès espéré avant d’être racheté par TF1. 30 millions d’euros de dettes plus tard, Unibet reprenait la plateforme du site… L’article raconte également la défaite du patron de Free Xavier Niel (photo) avec Chilipoker.fr, qui a lâché l’affaire après avoir accumulé 5,7 millions d’euros de dettes.

La prudence du Groupe Tranchant

Du côté des casinotiers, l’article raconte la fermeture de BarrièrePoker.fr alors que l’opérateur venait de se doter de l’unes des plateformes les plus performantes du marché français, ou encore l'aventure de Partouche.fr. Le patron du Groupe Tranchant, casinotier exploitant seize établissements en France, explique d’ailleurs pourquoi il ne s’est pas investi autant que ses concurrents dans le secteur du poker en ligne : « J’ai toujours dit que tout le monde allait se ruiner avec ça. Et c’est pour cela qu’on y a été à l’économie, sans investir beaucoup d’argent, et en se contentant de louer une plate-forme technologique. » Tranchant.fr a fini lui aussi par fermer.

L’article se termine cependant par une note positive en revenant sur les succès de Patrick Bruel et Mark Simoncini avec Winamax, et d’Isai Scheinberg avec PokerStars, qui associe à son succès la famille Balkany…

L’article de Capital

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