Bank of Poker : la room 100% gratuite reçoit le soutien des géants du Net Français
Un an après son lancement en mai 2012, Bank of Poker vient de recevoir le soutien financier de plusieurs acteurs majeurs d'internet.
L'idée était simple, il suffisait juste d'y penser. Calquée sur le modèle de la presse quotidienne gratuite, qui se finance entièrement grâce à la publicité, Bank of Poker semble connaître des jours heureux. La room, qui ne propose que des tournois gratuits grâce à la diffusion de bannières et de vidéos publicitaires durant les pauses lors des parties, vient de recevoir un coup de pouce financier de la part des géants du Net Français comme le PDG de Free Xavier Niel ou Jean-David Blanc, fondateur du site Allociné.
Des tournois gratuits pour des gains bien réels
Apparu en mai 2012, Bank of Poker propose ainsi des tournois freerolls avec des dotations allant de 1 à 1000 €. Depuis son apparition, la room affirme avoir reversé plus de 300.000 € de gains gratuits à ses joueurs.
Faire gagner de l'argent aux joueurs sans qu'ils ne dépensent le moindre centime, un concept qui semble avoir convaincu les poids lourds du net.
Jean David Blanc, Jacques Antoine Granjon (fondateur Vente Privée), Xavier Niel, Jeremie Berrebi (co-fondateur Kima) et Clément Benoit (fondateur Resto-in) ont ainsi misé sur la room.
Selon les responsables de Bank of Poker, cette levée de fonds va permettre de "renforcer les équipes commerciales et marketing, en vue du déploiement de Bank of Poker dans de nouveaux pays, et de développer de nouveaux jeux sur le même schéma. Cette première année nous a permis de nous positionner comme leader sur le marché français du poker gratuit avec des gains d'argent, il est désormais temps pour les joueurs étrangers d'en profiter."
Revendiquant plus de 100.000 joueurs dans l'Hexagone, la room souhaite donc s'exporter hors de nos frontières. Avec plus de 600 € seulement de gains pour le meilleur joueur de la room, Bank of Poker peut séduire les joueurs débutants, mais peinera sans doute à convaincre les plus mordus d'adhérer au concept.
