JUSTICE : Poker, cocaine et rock and roll, une affaire hors normes !

09/10/2024 à 13:10 par Fabien RICHARD

Des figures du monde du jeu sont accusées d’avoir orchestré un trafic de cocaine depuis la Martinique, en cachant la drogue dans des meubles pour tromper les autorités.

Le coup de filet des douaniers a fait grand bruit : plus de 1,7 tonne de cocaïne, d’une valeur astronomique de 51 millions d’euros, a été découverte dans des meubles expédiés depuis la Martinique, sous couvert d’un faux déménagement. Mais l’affaire prend une tournure inattendue : les enquêteurs pointent désormais du doigt un réseau complexe lié au monde du poker, où des figures insoupçonnées seraient mêlées au trafic. Parmi eux, un Antillais, récemment libéré sous contrôle judiciaire, attire particulièrement l’attention. Alors que les ramifications de cette organisation se dévoilent peu à peu, l’enquête promet de faire tomber des masques dans un univers où l’apparence de respectabilité cache parfois de sombres secrets.

Poker, Antilles et cocaïne, le triptyque diabolique de cette affaire totalement folle !

Deux ans après l’opération de saisie de plus de 1,7 tonne de cocaïne cachée dans des meubles, l’affaire dévoile des détails dignes d’un thriller. Expédiée sous couvert d’un déménagement depuis la Martinique, la drogue a été découverte par les douaniers dans des objets banals comme des canapés et des armoires. Derrière cette logistique, un certain "Dodo", personnage mystérieux lié au monde du poker, qui aurait orchestré le tout en manipulant des complices. Parmi eux, un croupier au passé trouble, récemment relâché sous contrôle judiciaire, et un joueur de poker, arrêté en pleine compétition, qui clame son innocence. L’intrigue prend une tournure encore plus complexe lorsque l’on apprend que plusieurs suspects auraient utilisé leur expérience dans les jeux d’argent pour monter cette opération tentaculaire. Entre trahisons, faux-semblants et secrets, les enquêteurs se battent pour démêler un réseau où chaque coup de bluff pourrait faire tomber l’édifice du trafic.